Se souvenir ne plus pleurer
Mémoire à 3+3,
Eins, zwei, drei, vier au rythme de la marche allemande l’histoire se réécrit.
Le soldat SS raconte le sentiment d’impunité qui motive l’horrible crime contre l’humanité, la deuxième guerre mondiale. Mais résistants et déportés font face soutenus par les notes tziganes du trio Zingara.
Pourtant le public ne danse pas : la contrebasse répond aux fusils mitrailleurs, la clarinette aux lamentations des fosses, la guitare tente de susciter un espoir…
Les applaudissements répondent aux horreurs de la guerre. Il ne dansait pas ce public, il vibrait, car l’espoir n’est jamais loin.
Une note joyeuse, un chant lancinant au diapason de la paix et nous pouvons tous faire en sorte que l’histoire ne se répète pas : « chaque dictateur en puissance mérite d’être stoppé ». Tous aux urnes !
Voir d'autres photos